«Mes prises de position, à certaines époques de ma vie, je n'ai pas la vanité de croire que cela présente quelque intérêt pour beaucoup de gens (...). Mais quoi ! on m'assure qu'il subsiste encore quelques milliers de maniaques, de par le monde, pour s'intéresser aux faits et gestes d'un écrivain de mon espèce qui a émergé à la vie de l'esprit, et donc à la vie politique, dans les premières années du siècle et qui depuis bientôt trente ans ne s'est pas privé de la commenter.»[1]